Qu’est-ce que la facturation électronique (et pourquoi elle change tout) ?
On en parle déjà depuis un moment, mais peu savent vraiment ce que c’est.
La facturation électronique ne consiste pas à envoyer un PDF par e-mail.
C’est bien plus qu’un simple fichier joint : c’est une donnée structurée, lisible à la fois par l’humain et par la machine.
En clair : la facture devient un flux de données interopérable, conçu pour être lu automatiquement par les logiciels comptables, les ERP, et bientôt, les systèmes fiscaux eux-mêmes.
Le nouveau standard : Factur-X, UBL, CII
Trois formats sont reconnus par la DGFiP :
- Factur-X : un hybride malin entre un PDF lisible et un fichier XML caché à l’intérieur.
👉 C’est le format le plus populaire (et celui adopté par Tourbiz). - UBL et CII : des formats 100 % structurés, plus techniques, destinés aux gros volumes et aux systèmes intégrés.
 
Ces formats garantissent la conformité, la traçabilité et l’intégration automatique dans les outils de gestion.
PDP vs PA : quel changement pour la facture électronique ?
Si vous avez déjà tapé “PDP facturation électronique” dans Google, vous n’êtes pas seul.
C’est encore le terme le plus recherché sur le sujet. Pourtant, depuis 2024, la terminologie officielle a changé : adieu PDP, bonjour PA.
Mais alors, que cache ce simple changement d’acronyme ?
PDP, l’ancien monde
La PDP, ou Plateforme de Dématérialisation Partenaire, désignait les intermédiaires habilités à transmettre vos factures électroniques au Portail Public de Facturation (PPF).
Ces plateformes assuraient le transit, le contrôle, la validation des données et leur transmission à l’administration.
Le problème, c’est que le PPF, le grand hub central de l’État, n’a pas survécu à la réforme. Trop rigide, trop lent, trop coûteux.
PA, la nouvelle ère
Place désormais à la PA, pour Plateforme Agréée.
Sur le fond, rien ne change vraiment : les PA jouent le même rôle que les anciennes PDP.
Elles reçoivent, contrôlent, acheminent et transmettent les données fiscales à la DGFiP.
Mais sur la forme, tout change :
- Les PA sont pleinement privées, agréées par l’État selon un protocole strict ;
 - Elles peuvent travailler directement entre elles, sans passer par un portail central ;
 - Et elles deviennent le point d’entrée unique pour l’émission et la réception de factures électroniques.
 
Pourquoi garder “PDP” dans cet article ?
Parce que le vocabulaire administratif a de l’inertie : des milliers de professionnels continuent à chercher “PDP facturation électronique”. En gardant le terme, vous trouvez l’info que vous cherchez, tout en découvrant le vocabulaire à jour.
👉 Autrement dit, “PDP” et “PA” parlent de la même chose, mais “PA” est le seul terme désormais reconnu par l’administration fiscale.
⚠️ Fin du PPF : un tournant à comprendre
Le Portail Public de Facturation (PPF), ex-Chorus Pro, ne gérera plus vos factures à partir de la réforme.
Il devient un annuaire national et un collecteur de données fiscales, rien de plus.
Dorénavant, tout passe par une Plateforme Agréée (PA) — ou par un Opérateur de Dématérialisation (OD) connecté à une PA. Et ce sont ces acteurs privés qui garantiront la conformité de vos flux comptables.
Si vous utilisez déjà un logiciel de gestion ou de billetterie comme Tourbiz, bonne nouvelle : il saura parler le langage des PA — sans que vous ayez à réinventer votre process de facturation.
💡 Préparez-vous à la facturation électronique
Avec Tourbiz, vous gérez votre facturation électronique en toute conformité.
Le logiciel prend en charge le format Facture X, le futur standard obligatoire en France, et automatise l’envoi, la réception et l’archivage de vos factures clients et fournisseurs. Simplifiez vos obligations légales et restez 100 % conforme, sans effort.
Qu’est-ce que cela change pour les pros du tourisme ?
Dans les parcs, les musées, les agences ou les compagnies fluviales, on jongle souvent avec plusieurs systèmes : billetterie, CRM, compta, marketplace, partenaires CE…
Demain, ces flux devront tous parler le même langage.
Avec la facturation électronique, chaque vente B2B devient un flux automatisé, sans double saisie, sans erreur, sans relance inutile.
Les rapprochements comptables se feront en quelques clics.
Et pour les dirigeants, les données financières seront plus propres, plus exploitables, plus rapides à consolider.
Les nouvelles échéances de la facturation électronique en France pour 2026 et 2027
La réforme de la facturation électronique avance à marche forcée.
Et si les reports successifs ont semé le doute, le calendrier est désormais fixé et définitif.
Deux dates à retenir — gravées dans le marbre de la DGFiP : le 1er septembre 2026 et le 1er septembre 2027.
📅 1er septembre 2026 — Première étape : recevoir
À partir de cette date, toutes les entreprises françaises, quelle que soit leur taille, devront être capables de recevoir des factures électroniques.
Cela veut dire que votre comptabilité, votre ERP ou votre logiciel de gestion (Tourbiz compris) devra être connecté à une Plateforme Agréée (PA).
Les grandes entreprises et ETI devront en plus commencer à émettre leurs factures au format électronique structuré.
C’est la phase d’apprentissage : on reçoit, on s’adapte, on automatise la lecture des données, on ajuste les flux.
📅 1er septembre 2027 — Deuxième étape : émettre
Un an plus tard, le reste de l’économie s’y met.
PME, TPE, micro-entreprises, indépendants du tourisme et prestataires de loisirs : c’est votre tour.
Dès cette date, l’émission de factures au format électronique devient obligatoire.
Et cela concerne directement tous les acteurs du tourisme :
- billetteries, agences et offices,
 - prestataires d’activités, musées, bases de loisirs,
 - croisiéristes, parcs, ou entreprises événementielles.
 
Concrètement, vos factures B2B (partenaires, CE, opérateurs, collectivités, etc.) devront être émises au format Factur-X, UBL ou CII, via une PA agréée.
Pourquoi cette réforme ?
Au-delà des contraintes, il y a une logique forte :
- Moderniser les échanges B2B et fiabiliser les paiements.
 - Automatiser la collecte de la TVA (fini les déclarations manuelles et les erreurs de saisie).
 - Réduire la fraude grâce au suivi en temps réel des flux.
 - Simplifier la vie des entreprises, notamment celles qui jonglent avec des centaines de factures par mois.
 
L’idée, c’est de transformer la facture en donnée vivante : plus qu’un document, un flux structuré, exploitable et interconnecté avec vos outils.
🧭 Les 3 étapes pour être se mettre en conformité (spécial billetterie)
Pour les acteurs du tourisme, la facturation électronique peut sembler une usine à gaz.
Mais dans la pratique, tout se résume à trois étapes simples et incontournables.
Et si vous utilisez un logiciel métier comme Tourbiz, vous avez déjà une longueur d’avance.
Les 3 étapes à suivre en pratique
✅ Enregistrez votre entreprise dans l’annuaire officiel.
✅ Connectez votre logiciel à une Plateforme Agréée.
✅ Émettez vos factures au format Factur-X.Voici pour les détails.
1️⃣ S’enregistrer dans l’annuaire central
Avant toute chose, votre entreprise doit apparaître dans l’annuaire officiel de la facturation électronique :
👉 https://facturation.chorus-pro.gouv.fr/annuaire/#/
Cet enregistrement associe votre SIREN/SIRET à une adresse de facturation électronique, appelée “adresse d’immatriculation”.
C’est cette adresse qui permettra à vos partenaires B2B de vous envoyer leurs factures via leur Plateforme Agréée (PA).
💡 En clair : sans cet enregistrement, aucune facture électronique ne peut vous être livrée.
2️⃣ Choisir sa Plateforme Agréée (PA)
C’est le nerf de la guerre.
Votre PA est la passerelle technique entre votre système de facturation et le réseau national.
Vous avez deux options :
- Utiliser une PA directement, comme Sage, Cegid, Pennylane, ou d’autres éditeurs agréés par la DGFiP ;
 - Passer par un Opérateur de Dématérialisation (OD) intégré dans votre logiciel métier, qui relaie vos factures vers une ou plusieurs PA.
 
💬 Exemple concret :
Tourbiz, logiciel métier dédié au tourisme et aux loisirs, se connecte déjà à plusieurs Plateformes Agréées.
Cela vous évite d’avoir à choisir un prestataire supplémentaire : tout se fait depuis votre environnement habituel.
3️⃣ Émettre vos factures au bon format
Le fameux format de la Factur-X s’impose comme le standard pour les PME et acteurs du tourisme.
Pourquoi ? Parce qu’il combine le meilleur des deux mondes :
- un PDF lisible pour l’humain ;
 - un XML structuré pour les logiciels comptables.
 
Tourbiz adopte déjà ce format. Chaque facture émise depuis la plateforme respecte les standards Factur-X, et peut être transmise directement à la PA du client, sans manipulation manuelle.
💡 Passez à la facturation électronique sans stress
La réforme arrive : dès 2026, la facturation électronique deviendra obligatoire pour toutes les entreprises du tourisme.
Avec Tourbiz, tout est prêt : génération automatique au format Facture X, envoi, archivage et suivi intégrés.Fini les erreurs manuelles : votre comptabilité reste fluide, conforme et centralisée.
Les nouvelles mentions obligatoires sur vos factures électroniques
La facture électronique ne se contente pas d’un nouveau format — elle redéfinit aussi les informations qu’une facture doit contenir.
Pour rappel, l’objectif de la DGFiP est de rendre chaque transaction parfaitement identifiable, interprétable et exploitable automatiquement.
En d’autres termes, chaque ligne, chaque champ compte.
Les mentions classiques… qui restent
Rien ne change sur les fondamentaux :
- la date d’émission,
 - le numéro de facture,
 - le montant HT, TVA, TTC,
 - les coordonnées du client et du fournisseur,
 - la description de la prestation.
 
Ces mentions demeurent, mais elles doivent désormais être structurées, c’est-à-dire lisibles par les systèmes comptables.
Les nouvelles mentions spécifiques à la facturation électronique
À partir de 2026–2027, plusieurs champs deviennent obligatoires sur les factures électroniques :
- SIRET de l’émetteur et du destinataire : pour identifier précisément les entreprises dans l’annuaire central.
 - Type d’opération : vente de biens, prestation de services ou mixte.
 - Catégorie de TVA : taux normal, réduit, exonéré, ou autoliquidé.
 - Adresse de facturation électronique : l’adresse issue de l’annuaire Chorus Pro (celle de votre PA).
 - Identifiant unique de transaction : généré automatiquement par le système.
 - Format structuré conforme : Factur-X, UBL ou CII.
 
Ces informations ne sont plus simplement “affichées” : elles sont codées dans la donnée et lues automatiquement par les outils de gestion.
Pourquoi ces mentions sont désormais essentielles ?
Ces nouveaux champs permettent à l’administration de :
- vérifier en temps réel la cohérence entre ventes et déclarations de TVA ;
 - suivre les transactions inter-entreprises sans attendre la fin du trimestre ;
 - simplifier les contrôles et le préremplissage des déclarations fiscales.
 
En retour, les entreprises gagnent en transparence et réduisent les erreurs — plus besoin de jongler avec les doubles saisies ou les factures perdues.
Dans la billetterie ou les activités de loisirs, ces mentions seront cruciales pour :
- gérer les taux de TVA différenciés (5,5 %, 10 %, 20 % selon les cas) ;
 - tracer les acomptes, avoirs ou ventes multi-sites ;
 - fluidifier les échanges avec les agences, comités d’entreprise et partenaires B2B.
 
Tourbiz étant déjà compatible avec le format Factur-X, nous intègrons ces champs automatiquement lors de la génération de vos factures — vous restez conforme sans rien changer à vos habitudes.
Comment choisir sa Plateforme Agréée (PA) ?
Comme expliqué en préambule, la Plateforme Agréée (PA), c’est un peu le pivot invisible de la réforme : sans elle, aucune facture ne circule.
C’est elle qui réceptionne, vérifie, formate, achemine et archive les données fiscales pour le compte des entreprises.
Mais toutes les PA ne se valent pas — et bien choisir la vôtre peut faire la différence entre une mise en conformité fluide et un cauchemar administratif.
1. Vérifier votre logiciel actuel
Première question à vous poser :
Votre logiciel de gestion ou de comptabilité va-t-il intégrer une PA ?
La plupart des grands éditeurs (Sage, Cegid, Pennylane, QuickBooks, etc.) annoncent déjà des connexions natives avec une ou plusieurs plateformes agréées.
Les solutions métiers comme Tourbiz — pensées pour les professionnels du tourisme — suivent la même voie : elles dialoguent directement avec plusieurs PA, sans passerelle supplémentaire.
💡 Si votre outil est déjà compatible avec le format Factur-X, vous êtes à mi-chemin de la conformité.
2. Comprendre comment une PA fonctionne
Une Plateforme Agréée n’est pas un simple hébergeur :
- elle contrôle la validité et la conformité de chaque facture ;
 - elle assure son acheminement vers la PA du destinataire ;
 - elle transmet les données essentielles à la DGFiP (e-reporting TVA) ;
 - elle conserve un historique des flux pour consultation et preuve.
 
L’agrément délivré par la DGFiP repose sur des critères très stricts : sécurité, disponibilité, traçabilité et interopérabilité.
👉 La liste officielle des PA agréées sera publiée avant 2026 sur le site du gouvernement (DGFiP / impots.gouv.fr).
3. Ou passer par un Opérateur de Dématérialisation (OD)
Vous pouvez aussi confier la gestion technique à un Opérateur de Dématérialisation (OD), intégré dans votre logiciel métier.
L’OD agit comme un intermédiaire : il formate vos factures, les vérifie, puis les envoie vers une ou plusieurs PA partenaires.
C’est souvent la solution la plus souple pour les PME et les acteurs du tourisme, car elle évite la multiplication des interfaces et simplifie la configuration.
4. Les bons critères pour choisir
Le choix de votre PA dépend de plusieurs facteurs :
- Le volume de factures (quelques dizaines ou plusieurs milliers par mois ?)
 - Votre écosystème logiciel (ERP, billetterie, CRM, comptabilité)
 - Votre budget (certaines PA facturent à la transaction, d’autres à l’abonnement)
 - Vos besoins spécifiques : archivage, automatisation, export comptable, suivi des statuts.
 
Pour résumé…
✅ Commencez par vérifier si votre logiciel est déjà connecté à une PA.
✅ Si ce n’est pas le cas, anticipez le raccordement dès 2025.
✅ Privilégiez les solutions qui vous laissent le choix de votre PA — comme Tourbiz.
Ainsi, vous restez libre, conforme, et prêt pour la bascule du 1er septembre 2026.
Les spécificités de la facture électronique pour la billetterie et le secteur tourisme & loisirs
La réforme de la facturation électronique ne touche pas tout le monde de la même manière.
Et dans le tourisme, c’est un véritable jeu d’équilibriste entre B2C et B2B.
Les billets vendus au grand public ? Peu concernés.
Mais les ventes inter-entreprises — agences, comités d’entreprise, collectivités, tour-opérateurs, prestataires partenaires — seront, elles, directement impactées.
Voyons cela en détail.
Si vous travaillez en B2C, pas d’obligation directe
La majorité des acteurs du tourisme fonctionnent sur des volumes massifs de transactions B2C :
réservations en ligne, ventes de billets, entrées de musées, dîners-croisières, activités outdoor…
Ces opérations ne sont pas soumises à la facturation électronique obligatoire.
Mais attention : ces flux restent soumis à la TVA et devront parfois être agrégés dans le reporting automatique que les Plateformes Agréées transmettront à l’administration.
Autrement dit, même si vous n’émettez pas de factures électroniques pour vos visiteurs, vos données de ventes B2C pourraient être partiellement remontées via votre outil comptable.
Si vous travaillez en B2B, l’obligation s’impose
C’est ici que la réforme prend tout son sens.
Dès 2027, toutes vos factures adressées à d’autres entreprises devront être émises au format électronique structuré.
Exemples :
- ventes à des comités d’entreprise ou des collectivités ;
 - factures à des agences de voyages partenaires ;
 - prestations pour des événements d’entreprise ou des groupes.
 
💡 Ces factures, comme toutes celles concernées par le passage à la facture électronique, devront donc passer par une Plateforme Agréée et être conformes au format Factur-X, UBL ou CII.
Quelques cas particuliers à anticiper
Le secteur du tourisme multiplie les subtilités fiscales :
- Acomptes et soldes à facturer séparément ;
 - Avoirs et remboursements de réservations ;
 - TVA sur la marge pour les agences et les circuits organisés ;
 - Taux réduits (5,5 % ou 10 % pour la culture, les transports ou la restauration) ;
 - Ventes multi-sites ou multi-entités juridiques.
 
Autant d’éléments qu’il faut paramétrer correctement dans votre logiciel avant la bascule.
Le bon réflexe à avoir
Définissez dès maintenant, dans votre solution de gestion ou de billetterie, la nature de chaque opération (service, bien, TVA applicable, conditions particulières).
Ce travail de préparation vous évitera des retours de factures non conformes en 2026.
Tourbiz, de son côté, intègre déjà ces cas spécifiques :
- Gestion multi-activités et multi-sites,
 - Paramétrage des taux de TVA propres au tourisme,
 - Émission automatique de factures B2B conformes,
 - Export direct vers votre comptabilité ou votre Plateforme Agréée.
 
Le rôle de Tourbiz dans cette transition
Dans un contexte où chaque acteur du tourisme doit jongler entre réglementation, comptabilité et expérience client, Tourbiz ne se contente pas de suivre la réforme — il l’anticipe.
La nouvelle version du logiciel a été pensée pour rendre la facturation électronique simple, fluide et automatique, sans sacrifier l’ergonomie ni la logique métier des professionnels du secteur.
Tourbiz, déjà compatible avec Factur-X
Dès aujourd’hui, toutes les factures émises via Tourbiz peuvent être générées au format Factur-X, le standard retenu par la DGFiP.
Ce format hybride — PDF lisible + XML structuré — permet de concilier visibilité humaine et conformité technique.
Résultat :
- vos clients voient une facture claire et lisible ;
 - vos partenaires comptables, eux, reçoivent un fichier parfaitement exploitable par leurs systèmes.
 
Connexion directe avec plusieurs Plateformes Agréées (PA)
Tourbiz travaille actuellement à la connexion native avec plusieurs PA du marché, afin de permettre à chaque client de choisir librement son prestataire.
L’objectif : que vos factures puissent être transmises automatiquement, quel que soit votre écosystème comptable.
Cette interopérabilité vous garantit une liberté totale : vous restez maître de vos outils, sans dépendance à une plateforme unique.
Les bénéfices concrets pour les utilisateurs Tourbiz
- Factures conformes dès l’émission : chaque facture respecte la structure exigée par la DGFiP.
 - Transmission automatique vers la PA du client : zéro export manuel, zéro envoi par e-mail.
 - Suivi en temps réel : statut des factures (émise, transmise, acceptée, rejetée) accessible depuis votre interface.
 - Réduction des erreurs de saisie : grâce à la génération automatique des données fiscales et TVA.
 - Gain de temps comptable : vos écritures se synchronisent directement avec votre logiciel de comptabilité.
 
Une vision globale de la conformité
Tourbiz accompagne les acteurs du tourisme vers une gestion plus fiable, plus connectée et plus moderne. Vous continuez à vendre, gérer et facturer comme avant — mais en mieux, en plus rapide, et 100 % conforme.